Copain des chevaux

De Jean-François Ballereau et Gilles Delaborde

Cote : 599.66 BAL


Dans ce documentaire, on nous parle des races de chevaux et de poneys, des peuples cavaliers, des origines du cheval. On nous explique comment s’occuper d’un poulain, d’un cheval, comment faire travailler les chevaux. Dans le chapitre « En selle » sont présentés les différentes équitations qui existent, la position à cheval, la monte à cru, etc. Dans le chapitre « Du côté des poneys » on trouve des renseignements sur la voltige, l’équitation en jouant.

J’ai beaucoup aimé ce livre car il donne des réponses à des questions que l’on se pose.

Mon grand-père était un cerisier

De Angela Nanetti.
Lu par cassandra.

Cote : R NAN


    Un jeune garçon nommé Tonino vit avec ses parents et ses grands-parents paternels en ville. A la campagne, vivent ses deux autres grands-parents qui s’appellent Ottaviano et Teodolinda. Son grand-père est une personne pas comme les autres : il aime Félicien, son cerisier, et grimpe régulièrement dessus. Teodolinda et Tonino adorent également monter à l’arbre. Mais, un jour, Teodolinda et son petit-fils apprennent que Félicien va être abattu à cause de la construction d’une autoroute. Ils vont alors tout faire pour sauver Félicien…
Cassandra Salaun

Les Sortceliers. Tara Duncan, 1

De Sophie Audouin-Mamikonian.
Lu par Amélie.

Cote : R AUD


    Tara Duncan est une sortcelière, « celle-qui-sait-lier-les-sorts ». Elle le découvre lorsque Magister, l’homme au masque, tente de l’enlever, blessant gravement Isabella Duncan, sa grand-mère, une sortcelière elle aussi. Tara apprend que sa mère, Selena, qu’elle croyait morte dans un accident biologique en Amazonie, est encore en vie. Elle part alors avec son meilleur ami terrien, Fabrice, sur Autre Monde, la planète magique, en vue de délivrer Selena, prisonnière de Magister, la maître des Sangraves.
    Sur Autre Monde, Tara se lie avec un Familier, un pégase de deux mètres au garrot doté d’ailes de quatre mètres qu’elle miniaturise pour pouvoir l’emmener partout avec elle, et se fait deux ennemis supplémentaires : Angeliqua, une peste qui se prend pour le nombril du monde, et le terrifiant maître Dragosh, un vampyr aux canines pointues. Heureusement, elle rencontre aussi Caliban Dal Salan, un jeune voleur qui s’entraîne au métier d’espion, Gloria Daavil, dite Moineau, Robin, un mystérieux sortcelier qui tombe amoureux d’elle, maître Chem, un vieux dragon distrait et, enfin, la naine Fafnir, sortcelière malgré elle, farouche ennemie de la magie et qui veut s’en débarrasser.
    Enlevée par Magister, Tara parviendra-t-elle à délivrer sa mère ?
Amélie Le Dû

Satanée grand-mère !

De Anthony Horowitz.

Cote : R HOR


    Les Wardens, Joe et ses parents, vont chez Grand-mère qui les a invités. Chez elle, il y a onze chambres à coucher, cinq salons, trois escaliers et un bon kilomètre de couloirs. Joe, qui adore sa grand-mère, trouve que c’est très gentil de les inviter tous les trois. Pourtant, petit à petit, il prend peur car une gouvernante disparaît et un jardinier est tué. Il fait sa petite enquête… et pense que c’est sa grand-mère qui est à l’origine de tout ça !

Mamie mémoire

De Hervé Jaouen.
Lu par Marion.

Cote : R JAO


    La grand-mère de Véro a mis le feu chez elle. Véro et sa mère, s’inquiétant du nouveau comportement de Mamie, l’envoient voir le médecin Guillou, un ami de la famille. Il est formel : Mamie est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Véro et les siens se mobilisent : Guillaume, le frère de Véro, est très fort en informatique et décide de faire un film avec les photos et les lettres de Mamie. Celle-ci est contente mais son état se dégrade malgré tout…
Véro nous raconte cette histoire et, à la fin, elle se jure qu’elle sera la mémoire de Mamie jusqu’à ce qu’elle perde elle-même la tête.

Cette histoire m’a plu car c’est une histoire de coeur qui pourrait être réelle. Elle nous permet de mieux connaître les symptômes de cette maladie dont on entend souvent parler.


Marion Kérourédan

Il arrive !

    Jeudi 26 avril, nous recevrons Thierry Crifo, un auteur de romans policiers. Pour l’accueillir, nous avons préparé une interview et nous avons mis en scène des éléments de son roman « Le vieil aveugle de St-Lazare » que nous étudions en français : un buste du vieil aveugle, des dessins représentant l’aveugle, etc. Nous avons recréé des passages du livre, comme l’enterrement du vieil aveugle, le quotidien des étudiants en arts, etc.

    Après sa venue, nous vous raconterons se qu’il s’est passé : ses réponses à notre interview, l’atelier d’écriture, notre opinion sur cette rencontre, etc.

Pour en savoir plus sur Thierry Crifo :
http://www.ricochet-jeunes.org/biblioauteur.asp?id=12744

 

Les cinquièmes A

Les vikings

Sur les traces d’une civilisation méconnue, les Vikings, suivez nos spécialistes. Quand des élèves de cinquième se prennent pour un faussaire, un archéologue, un linguiste !!!

Pour les retrouver, consultez la rubrique « Les Vikings ».

Les cinquièmes de M. Le Guennec

Du viking au français il n’y a qu’un Ä

Quels sont les mots d’origine viking (scandinave) dans notre langue ? Le linguiste Alex Hique nous précise :


– Le terme marin d’origine danoise RAZ désigne le courant et donnera Raz de marée comme Raz de Sein sans changer de sens ;
– DRAGON est bien la figure repoussante présente à la proue des DRAKKARS d’où il tire son origine, alors que DREKI est le véritable terme scandinave pour désigner les embarcations des Vikings ;
– De NORvège en NORmandie, ces hommes du NORD vont s’installer sur les côtes d’Europe et y laisser leur langue dans les noms de lieux : Honfleur, Barfleur ou Harfleur qui n’ont pas grand chose à voir avec des jardins mais rappellent que ces trois villes ont été construites près de baies (= Fleur en scandinave). Comme ces îles de Jersey ou Guernesey qui, dans leur terminaison, retrouvent leur origine (Ey = Ile en scandinave).

 

A la prochaine, foi de Viking !
Les cinquièmes de M. Le Guennec

Confessions d’un faussaire

    C’est moi Hans Maïer (ou Joseph Fischer ça dépend ), allemand et jésuite, et surtout l’un des plus grands faussaires de l’Histoire. Depuis quelques temps, je possède une carte attribuée aux Vikings. La revendre m’assurerait une bonne fortune mais je veux faire plus : la rendre unique en lui donnant quelque chose qu’aucune carte de cette époque ne possède : une partie des côtes de l’Amérique !
Quand j’ai voulu reproduire l’emplacement du Vinland (nom Viking du Canada d’aujourd’hui) sur cette carte d’avant Christophe Colomb, je voulais utiliser la même encre que celle du document du Moyen Age. Je me suis entraîné à imiter son trait afin que la supercherie fonctionne. Mais comme je n’en ai pas trouvée j’ai du prendre de l’encre de mon époque qui ne contenait pas la même substance.
Malheureusement, un jour, je fus démasqué par Kristen Sedver, historienne américaine d’origine norvégienne. Même si mon trait ressemblait comme deux gouttes d’eau à celui du Moyen Age, l’encre m’a trahi. Pourtant, je n’aurais jamais pensé que cette carte aurait eu un tel succès, des gens furent prêts à acheter cette carte pour une très forte somme, ils ne se doutaient pas que j’étais l’auteur de l’Amérique !

 

Les cinquièmes de M. Le Guennec

Confessions d’un archéologue

En 1963, je me trouvais sur les côtes du Canada, près de l’embouchure du St Laurent, sur un site archéologique, quand nous trouvâmes un squelette vieux de 1000 ou 1100 années, ce qui prouverait que les Vikings auraient découvert l’Amérique. La  tombe contenait les attributs d’un chef qui aurait eu 4 enfants avec 3 femmes différentes. La polygamie était bien pratiquée par les Vikings jusqu’en Amérique.
Deux choses sont en tout cas probables. La première est que le voyage vers le Labrador était moins périlleux par le Groenland pour des navigateurs chevronnés tels que les Scandinaves. La seconde est que les compagnons de ce chef de tribu, peut être de la lignée d’Erik Le Rouge, ont effectivement accosté à Terre Neuve vers l’An Mil mais n’y ont laissé qu’un petit comptoir. Celui-ci aurait ensuite disparu. De toute manière aucun Viking ne cherchait à découvrir l’Amérique, ni l’Inde d’ailleurs !

 

Les cinquièmes de M. Le Guennec